« Un climat anxiogène et poétique, à travers une colorisation audacieuse et un trait d'une précision absolue. » (Frédéric Potet)
Le Monde
Au milieu de ces terres espagnoles ravagées par une interminable sécheresse, un jeune garçon effrayé fuit à travers les champs d'oliviers jusqu'à trouver refuge entre les racines. Sur ses traces, le shérif du village et ses hommes de main ratissent la campagne afin de le ramener chez son père. Mais (...) Lire la suite
Au milieu de ces terres espagnoles ravagées par une interminable sécheresse, un jeune garçon effrayé fuit à travers les champs d'oliviers jusqu'à trouver refuge entre les racines. Sur ses traces, le shérif du village et ses hommes de main ratissent la campagne afin de le ramener chez son père. Mais pourquoi un enfant fuirait-il le domicile paternel ? Pourquoi préférerait-il subir les blessures d'un soleil porté au fer- blanc plutôt que de rentrer avec les siens ? Ces questions, le vieux chevrier nomade qui le recueille peu après n'en a cure. D'un caractère aussi rude que ces régions assoiffées, il prendra toutefois soin du fugitif et tentera vaille que vaille de le protéger de ces ombres lancées à sa poursuite. Et ce, même s'il faut lui apprendre que pour échapper à la violence, on se doit parfois d'en user en retour. Lire la suite
Adaptation éponyme du roman de Jesús Carrasco, élu meilleur roman de langue espagnole en
2013, "Intempérie" est un véritable roman graphique réalisé par le talentueux auteur d' "Un maillot pour
l'Algérie". À travers de superbes images à la force brute, Javi Rey nous offre une expérience de lecture
âpre et puissante, où les sons, les saveurs et les sensations sont portés à leur paroxysme ; un chef-
d'oeuvre dont on ne ressort pas indemne.
- "Une histoire poignante et dure." (Le Dauphiné Libéré)
- "Intempérie vous cueille dès les premières pages pour ne plus vous lâcher. Un album impressionnant." (Christophe Levent - Le Parisien)
- "Un climat anxiogène et poétique, à travers une colorisation audacieuse et un trait d'une précision absolue." (Frédéric Potet - Le Monde)