« Un magnifique récit tout en délicatesse. »
Le Télégramme
Ludwig Mueller est un traducteur-interprète allemand aux ordres du parti hitlérien. Alors que la Seconde Guerre mondiale entame un virage inquiétant, ce mari désabusé et père peu préoccupé par sa famille est envoyé à Hiroshima afin de travailler sur des documents confidentiels, au contenu crypté. (...) Lire la suite
Ludwig Mueller est un traducteur-interprète allemand aux ordres du parti hitlérien. Alors que la Seconde
Guerre mondiale entame un virage inquiétant, ce mari désabusé et père peu préoccupé par sa famille
est envoyé à Hiroshima afin de travailler sur des documents confidentiels, au contenu crypté. Là-bas, il
lui est cependant impossible d'échapper à ses tourments qui se gravent dans sa chair et lui causent
d'intenses douleurs. C'est alors que sa rencontre avec une belle Japonaise va bouleverser toutes ses
convictions, jusqu'au plus profond de son âme...
L'année 1945 a sans doute été la plus sombre de l'histoire du Japon. En situant son intrigue à cette
période charnière (hibakusha se traduit par "les survivants de la bombe"), Thilde Barboni rend un vibrant
hommage à une nation souvent meurtrie, dont l'aura solennelle rayonne encore et toujours à travers les
imaginaires. Une oeuvre sublimée par le trait d'Olivier Cinna, qui offre à ce récit entre fiction et réalité
historique la force subtile et la pure délicatesse d'un magnifique haïku. Lire la suite
- "Une ode graphique à l'amour et à l'éternité." (Frédéric Bosser - L'Immanquable)
- "Une fable poétique sur l'horreur nucléaire." (Laurent Vissière - Historia)
- "Une magnifique histoire d'amour, passionnante, servie par un dessin subtil." (Manon, librairie Glénat - Grenoble)
- "Un magnifique récit tout en délicatesse." (Le Télégramme)
- "Un ouvrage plus que séduisant !" (Metro)
- "Un récit d'une grande humanité." (Soir Mag)
- "Une belle fable, délicate et subtile." (Maxx)
- "Un scénario d'une grande force !" (Ciné Télé Revue)
- "C'est poétique, c'est fin. Une sorte de haïku en bande dessinée." (Leïla Kaddour - France Inter)
Parce que ce sont eux qui en parlent le mieux !
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